Eaux troubles
- Par pascale-lilianah
- Le 08/04/2020
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- Dans Transe
Voici une transe que j’ai fais ce matin, la veille de la Super Pleine Lune - en Balance – du 8 avril 2020. Mais avant de vous en parler, j’aimerais vous expliquer son avant. Comme ça, je crois que vous allez mieux comprendre le pourquoi que j’ai fais ce genre de transe.
Pour commencer, j’ai réalisé quatre travaux de session à l’université (Fac) en 1 semaine, dont entre temps, j’ai fais le tirage de la semaine du 6 au 12 avril 2020. Mais je ne l’ai pas interprété sur le coup, car j’étais débordée par ces fameux travaux. Finis ce lundi, je décide de me l’a coulé douce le jour suivant. Voyant que je n’ai toujours pas interprété mon tirage pour ensuite le mettre en ligne sur mon site, je commence. Cependant, je cognais des clous comme pas possible devant mon ordinateur, si bien que je suis allée me coucher tôt. J'ai dormi seulement trente minutes, mais c’est assez pour me faire rêver. Dans ce rêve, je me vois debout essayant de me tenir contre les murs. Je vois brouille, voire plus du tout, un peu comme si je vais perdre connaissance pour cause de fatigue. De plus, je vois l’une de mes dents d’en avant tomber ou du moins, son plombage. J'ai peur tellement et pourtant, quand je me suis mise à plus l’analyser, je me rends compte qu’en fait, seule l’émail de ma dent décolle. Par cette pellicule protectrice qui ne veut plus tenir, je vois bien que je suis au bout du rouleau, puis que j’ai grandement besoin de sommeil réparateur. Après avoir fais ce rêve, je me rendors tout de suite. C’est la suite logique des choses, je me dis…
Ensuite, quand je me suis levée après environ cinq heures de sommeil, j'ai décidé de continuer ce fameux tirage. Nous sommes quand même rendus le mercredi à deux heures AM, quand on y pense bien. Tout ce passait bien, assez que je me suis mise à bien voir la ligne directrice pour ce tirage ; Équilibre, libérer sa créativité, puis se recentrer sur soi pour mieux émerger par la suite des eaux troubles tel un lotus sont au rendez-vous. Finis vers quatre heures AM, je me suis dite que je vais aller me recoucher, histoire de bien récupérer.
Avant de m’endormir, je me mets à ressentir quelque chose sur mon lit, comme si quelqu’un est en train de marcher sur le lit. Je peux percevoir l’ondulation des énergies dans l’air, mais ce n'est pas assez pour voir quoi que ce soi. À force de lui dire de s’en aller, je crois que je ne ressens plus rien. Alors, j’essaye de dormir. Pour ceux qui ne le savent pas, je dors que d’un seul côté. Si non, soit je fais des mauvais rêves comme des cauchemars, ou soit que j’entre dans une genre de transe ou je ne sais quoi. Je dors du côté droit le tout en ayant les deux bras posés en croix au niveau du coeur. Vous l’aurez compris… ce rituel inconscient est une forme de protection, voire même de blocage. Je veux protéger quelque chose. C’est alors que j’entrevois (ou non) quelque chose allongée devant moi. Je me mets tout à coup à ressentir deux mains prendre mes bras énergétiques (d’âme) pour ensuite les enrouler autour de son cou. Mais je ne vois pas très bien de quoi il s’agit. La transe commence… Je me vois telle une sirène nageant dans l’eau profonde, tenant par la même occasion la main d’une sirène mâle. Nous avons l’air de danser à travers le fond de la mer rempli de vies. Mais plus nous montons vers la surface de l’eau, et plus je la ressens des plus lointaines. Faut dire aussi que la mer en temps normale est profonde, donc bon. Il fait déjà sombre dans l’eau, mais plus ça va et plus je me mets à voir brouille. Assez que je ne perçois plus la sirène mâle dans mon champs de vision et ce, malgré le fait que je lui tiens toujours la main. En paniquant et en me débattant, l’eau devient de plus en plus trouble, dont le tout semble se refermer devant moi. L’ombre au fond de la mer essaye de m’atteindre, mais je continue d’aller le plus vite possible vers cette surface tant attendue. À un moment donné, j'ai peur de me noyer à un tel point que je me mets à étouffer, c’est-à-dire à ne plus savoir respirer. Et qui pourtant, tout semble paisible et harmonieux au début. Avec nos queues de sirènes, nous dansons dans ces eaux profondes qui en une fraction de seconde s’avère être troublées par un mental agité de ma part. J’ai beau m’accrocher à lui d’une telle force, mais je n’arrête plus de penser à l’air à la surface de l’eau. J’ai besoin d’air et surtout, j'étouffe ! Bref, je me suis mise à m'endormir à ce moment, au moment ou tout se referme sur moi et ne laisse la noirceur de l'eau comme vision.
À travers cette transe, on peut comprendre qu’il s’agit en fait de mes propres eaux troubles, puis que cette harmonisation entre mes parts masculines et féminines s’est retrouvée déséquilibrée. Bien sûr, il m’arrive parfois de faire une transe, dont je me mets à danser à travers le fond de la mer et ce, parmi toutes sortes de créatures marines. Je vois si claire et c’est tellement coloré que je nage en plein bonheur. Mais là, ces mêmes eaux se sont refermées sur moi comme si on voulait m’engloutir avec elles. Par chance qu’une sirène mâle était avec moi à ce moment là. Et qui sait, peut-être est-ce que cette entité (ou esprit) que j’ai ressenti avant mon entrée en transe n’était nul autre que lui. Disons que moi et le vide, c’est tout qu’un programme quand on y pense lol… Je sais nager, mais ce n'est pas assez !
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